« The Best Place For Care » est d’abord un petit jeu de mots. Nous voulons être là pour nos patients. Nous voulons les soigner, c’est-à-dire nous occuper d’eux le mieux possible, en tant que personne et pas seulement en tant que patient. Cela signifie que nous voulons qu’ils guérissent, mais cela signifie aussi qu’ils doivent se sentir bien. Ce sont deux dimensions très importantes. L’autre signification du mot « Care », c’est que nous voulons prendre soin de nos propres personnes. Tous ceux avec qui nous travaillons ici, c’est-à-dire tous nos collaborateurs, tout comme nos médecins et, même au-delà, les médecins externes et les professionnels de la santé que nous impliquons dans les soins aux patients.
The ONE HRS s’illustre le mieux par nos valeurs. Ce sont le RESPECT, l’ESPRIT D’ÉQUIPE, l’EXCELLENCE et la DURABILITÉ.
Le RESPECT est synonyme de respect mutuel, mais aussi de respect que nous témoignons aux autres qui viennent nous voir pour être aidés.
L’ESPRIT D’ÉQUIPE n’est pas aussi important dans un autre domaine que dans un hôpital. Il est important de bien travailler ensemble, de bien communiquer, que chacun comprenne ce qu’il fait et le transmette en conséquence.
Aux HRS, nous voulons l’EXCELLENCE à tous les niveaux – l’EXCELLENCE comme objectif, comme valeur de référence. Nous sommes bons dans ce que nous faisons, mais nous voulons faire encore mieux.
Pour atteindre cette EXCELLENCE, de nombreux facteurs sont nécessaires. Parmi ceux-ci, il y a bien sûr nos équipes en charge de nos patients, les meilleures infrastructures ainsi que les meilleurs équipements médicaux. C’est la composante de notre compétence technique. Une autre composante, ce sont nos patients, qui doivent bien sûr se sentir à l’aise et en sécurité chez nous. Ils doivent être entre de bonnes mains, pouvoir participer et comprendre ce qui leur arrive et nous dire ce qu’ils attendent afin que leurs attentes soient satisfaites.
A cela s’ajoute la composante sécurité. Dans un hôpital, il y a des appareils, des machines, des médicaments …, beaucoup de choses peuvent déraper. La troisième composante de notre EXCELLENCE est de réduire les risques au maximum et d’augmenter la sécurité autant que possible. Le bien-être de nos collaborateurs, des équipes médicales et soignantes, de nos partenaires, des médecins externes, est au moins aussi important, qu’ils se sentent bien chez nous et qu’ils reconnaissent que nous sommes une entreprise qui s’épanouit, où l’on apprend quelque chose, qui se développe et s’améliore dans le sens de l’EXCELLENCE pour nous tous.
Bien-sûr aussi en faisant des accréditations et des certifications comme par exemple avec l’accréditation Canada ou de nombreuses autres certifications, pour que nous puissions aussi mesurer nos performances et entrer en concurrence avec les meilleurs au niveau national, européen et mondial. Pour faire avancer la médecine, il faut des équipes jeunes, et en matière de relève, nous sommes à la pointe, car le volet recherche est tout aussi important.
Aujourd’hui, on sait que si un hôpital fait de la recherche et propose des études cliniques aux patients, cela représente une valeur ajoutée pour nous tous. Ce qui est important pour nous, c’est certainement la disponibilité pour le patient, pour fixer des rendez-vous, de les honorer et d’avoir à disposition des infrastructures et des structures appropriées et modernes. Une approche humaine, empathique et professionnelle du patient et son implication en tant que partenaire dans son traitement sont très importantes pour nous.
Pour nous, la priorité est de veiller à ce que nos collaborateurs aient le temps nécessaire pour s’occuper du patient. Cela implique bien sûr aussi une infrastructure appropriée ainsi que le matériel nécessaire. Nous devons créer les conditions cadres qui permettent aux médecins de travailler le plus facilement possible, de s’occuper de leurs patients tout en continuant à développer leurs talents.
Pour cela, il faut tout d’abord que les médecins soient davantage impliqués dans la direction de l’hôpital. Ceux-ci savent mieux que quiconque ce dont ils ont besoin, comment ils doivent se positionner pour s’occuper au mieux de leurs patients. C’est dans cet esprit que nous avons lancé notre projet de réorganisation de l’ensemble de nos activités médicales avec les médecins référents et les directeurs médicaux adjoints.
Pour pouvoir travailler le plus simplement possible et s’occuper d’autant de patients que possible, ils ont besoin d’un appareil administratif qui soit le plus simple possible et qui les décharge d’un maximum de travail qui n’est pas en contact direct avec ou sur le patient. Avec les médecins avec lesquels nous travaillons en dehors de l’hôpital, nous avons besoin d’une mise en réseau beaucoup plus intelligente, c’est-à-dire que nous devons être plus disponibles et plus accessibles pour eux, afin qu’ils puissent nous adresser plus facilement leurs patients.
Mais pour moi, cela signifie aussi que les informations doivent circuler de manière plus fluide dans les deux sens, de sorte que nous sachions déjà à l’arrivée du patient de quoi il souffre exactement et que nous puissions le soigner, et qu’après avoir examiné le patient, le médecin généraliste ou spécialiste qui l’a envoyé est informé du diagnostic et de la suite du traitement.